Actuellement 174 journalistes sont emprisonnés dans le monde.
En occasion de la journée mondiale de la Liberté de la presse du 3 mai, Reporters sans Frontières, qui, depuis sa création, combat les prédateurs de la liberté d’information, donne 39 noms de chefs d’Etat, politiques ou religieux, milices et organisations criminelles qui censurent, emprisonnent, enlèvent, torturent et parfois assassinent les journalistes.
Et lance avec BETC une campagne qui montre du doit ces hommes de pouvoir qui empêchent les journalistes d’exercer leur métier. Des images fortes qui appelent à la vigilance du grand public, et rappelent que la liberté d’information est un droit universel indispensable pour que chacun puisse exercer son rôle de citoyen.
« Sans liberté d’information, il ne peut y avoir de contre-pouvoir. »
Sympa, mais premier degré. Dans le passé on a fait mieux.