Semaine de la pub : la montée des marches

Le rideau se lève sur le show où la star est la pub.

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C’est la soirée d’ouverture de la semaine de la pub. Pour l’occasion, l’AACC a loué le palais de Tokyo.
Ici, pas de limousines, ni de robes glam. Aucun décolleté vertigineux ni d’émeute de fans en transe. Pas non plus d’attroupements de « paparazzi ». Pourtant nous montons les marches, le cœur battant, émues comme des aspirants à la palme d’or à Cannes. C’est ce soir qui se joue le futur du JSP. Un tapis rouge imaginaire nous rapproche de son destin.

À l’entrée, on contrôle soigneusement les cartons d’invitation, précieux sésames de la soirée. Je discute avec M. Piquet pendant que Florence va chercher Céline, qui a été engloutie par la foule.

Puis, nous rentrons dans la salle de projection qui est déjà bondée. J’aperçois de loin Hervé Brossard, sourire blanc carnassier et costume parfaitement coupé. Un peu plus loin se tiennent M. Noël et Christian Blachas. Les figures de proue de la manifestation discutent sous l’estrade avant de prendre le micro. Florence me présente Dominique Reniche, présidente de l’UDA et de Coca-Cola.

Nous écoutons sagement le discours d’ouverture, où on parle de création et de renouveau, puis la projection des spots de pub démarre. Mais le cœur n’y est pas.
Ce soir, nous avons une mission à accomplir : décrocher un double rendez-vous, celui qu’on nous refuse depuis si longtemps. Et rien ne peut nous détourner de ce but. Les yeux de Céline lancent des éclairs : « On ne partira pas d’ici sans avoir un rendez-vous avec Pierre Ferrer et Hervé Brossard. »

Le temps me semble long et j’attends le moment où tout le monde se rencontrera devant un verre. Quoique je sois une autiste des réunions mondaines et des conversations futiles devant le buffet, je me colle à la table amuse-gueule-champagne. C’est là qu’il faut rester pour avoir le meilleur point de vue sur les intervenants. Mais, comme des abeilles attirées par le miel, le gens se pressent autour du buffet. Et je finis par perdre de vue M. Brossard, Céline, Florence et même M. Piquet.

Enfin, je le vois ! Difficile de l’approcher. D’abord parce qu’Annonceurs, médias et professionnels de la pub se succèdent pour lui parler. Puis, c’est au tour des filles qui frétillent et papillonnent autour de lui. Parce que Monsieur le Président en plus d’être élégant, riche, puissant est aussi plutôt beau gosse.

Verre à la main, j’attends plus loin, que la foule de nanas se disperse. Mais, dès que l’une fille s’éloigne, une autre la remplace aussitôt. Je ne le lâche pas du regard. Je baisse les yeux juste quand je vois une vieille connaissance. Ce n’est pas le moment d’engager la conversation, ça pourrait me distraire. Florence me rejoint, des étincelles plein les yeux. Elle vient de parlerdu JSP à Dominique Reiniche, la présidente de l’UDA et de Coca-Cola. Elle le trouve très intéressant et lui a demandé de lui envoyer le dossier. Cool !

Je me rapproche d’Hervé Brossard. J’ai trop peur qu’il s’évapore comme par enchantement. Il continue à parler avec son fan club roucoulant et me regarde de temps en temps. Etant donné que j’ai les yeux rivés sur lui, il doit en conclure que je lui fais du rentre dedans. Ce qui me met bien dans l’embarras. Mais je préfère perdre la face que le perdre de vue.

Je profite d’une pause entre deux vagues de femmes et de son regard encourageant pour lui sauter dessus. Je me présente : le jour sans pub. Son sourire se fige immédiatement. Un ange passe. L’ambiance est plombée. Pas diplomate pour deux sous, je lui dis que j’aimerais bien qu’on puisse se rencontrer pour parler du JSP. Il bafouille quelques mots polis. Il murmure… Il parle si bas que je ne comprends pas. A ce moment, d’autres filles le rejoignent et il en profite pour pivoter tout doucement sur lui-même et engager la conversation ailleurs. Je me mets en retrait en attendant.

C’est à ce moment que M. Piquet s’approche pour me présenter le fameux Pierre. Contrairement à mes attentes, Pierre Ferrer n’a rien d’un prétentieux. Il est naturel, franc, même sympathique. Pourtant sa question me laisse perplexe : « Ah, c’est vous qui êtes à l’origine de cette action antipub ? »

C’est de l’humour ou bien c’est l’image que l’UDA a du JSP ? Comme si quelqu’un avait appuyé sur « play », les mots déboulent de ma bouche à un rythme soutenu. Je mets en avant les résultats de l’enquête, je lui parle de la posture du consommateur, de plus en plus interactif et citoyen, zappeur et acteur, et que créativité–audace-compréhension-écoute-respect-éthique sont les nouvelles donnes pour casser le mur qui nous sépare. Bref, je brûle tous mes neurones pour lui expliquer en 10 minutes chrono le concept du JSP. Je reprends mon souffle pour conclure en disant que nous comptons sur l’UDA pour nous aider à ciseler et à cimenter notre réflexion.

Je vois Hervé Brossard s’éloigner en douce vers la sortie. Le moment est mal choisi. Je ne peux pas prendre congé de Pierre Ferrer et je ne peux pas laisser partir le Président. Mais je ne peux pas non plus me cloner. Mon regard lui court après pendant que mes pieds restent solidement plantés dans le sol. Il disparaît dans la foule. La seule occasion de décrocher un rendez-vous s’envole avec lui.

Je me tourne vers Pierre Ferrer. Il n’a pas l’air hostile, bien au contraire. Il nous invite à prendre un petit-déjeuner à l’UDA pour qu’on puisse en discuter plus précisement. C’est bien au-delà de mes espoirs. On pourra, enfin, échanger tranquillement, café et croissants en prime.

À la sortie, je retrouve Céline, qui arbore son sourire de Joconde. Il y a de quoi. Elle a rattrapé in extremis M. Brossard, au moment où il récupérait son manteau au vestiaire. il a fini pour lui proposer de le recontacter pour fixer un rendez-vous. Florence confirme, en souriant complice.

Mission accomplie. Je fais un dernier travelling de la soirée. Malgré le ratage de ma première entrée en en scène, le rêve reste intact. Nous avons décroché la palme d’or des rendez-vous incontournables. Nous partons satisfaites et fières avec notre récompense.

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20 réflexions au sujet de “Semaine de la pub : la montée des marches”

  1. Bonjour, je trouve l’attitude du président très étrange^^. Il essaie de vous échapper comme s’il avait peur d’un face à face. Il sait que vous allez dans le bon sens, mais il ne veut pas le reconnaitre. Il reste à savoir pourquoi !!

  2. Si M. Noel vous a claqué la porte au nez, ce monsieur, Pierre Ferrer, me semble plutôt sympathique. La porte de l’UDA s’ouvre enfin. Et ce rendez-vous mettra fin à la fâcheuse amalgame entre le JSP et les antipub. Une fois que vous aurez expliqué votre projet, ils ne pourront qu’y adhérer. Je refuse résolument de croire que des gens qui influencent les décisions soient si fermés au dialogue, ou bien, si le dit vice-president s’arrête à une question de formes ou se laisse porter par ses sentiments personnels, c’est très grave et il y va de sa crédibilité. Nul ne songerait à blâmer un projet sans avoir l’avoir étudié au paravent, dans tous ses détails.

  3. Soirée interessante malgré tout. Vous avez porté à terme votre mission et vous avez obtenu les deux rendez-vous qu’il vous fallait. Nous allons pouvoir bientôt vivre ce que vous nous faites rêver depuis longtemps. Bravo à l’équipe et vive le jour sans pub !

  4. Enfin, dans ce milieu de loups aux longues dents et de gens obtus et arrogants, quelqu’un d’intègre qui ne se lance pas dans la course au pouvoir et dans les petites mesquineries. Je parle de M.Piquet qui, malgré son « savoir faire », privilégie le « savoir être ». Il a aussi tenu sa parole et vous a présenté le fameux "Pierre". Ce monseiur est digne de respect. D’autres devraient prendre exemple sur lui.

  5. L’immobilisme de la préfecture du Calvados

    Cela fait plus de 3 ans que la préfecture de Caen et la sous préfecture de Lisieux (en charge du dossier) ferment les yeux sur une pollution de plusieurs hectares, sur le non respect des droits de l’homme et le non respect des lois les plus élémentaires, de plus nos observations sont écrasées du pied. Ce mini état hors-la-loi se trouve à Cabourg, OUI, la station balnéaire de notre ami Proust. Dans cette commune on n’y tourne un film pas très romantique, le cheval n’est pas très bien vu non plus contrairement à ce que l’on dit (voir plus bas). Mais le pire, c’est le respect des lois. 3 ans qu’une petite ‘zone Naturelle d’intérêt écologique faunistique et floristique’ ZNIEFF accueil les gens du voyage provisoirement (attention à l’importance de ce mot).

    Â vous on vous demande de ramasser les crottes du toutou, de trier les ordures ménagères, d’être des individus responsables, Lisez bien la suite !!! LA c’est tout le contraire, les gens du voyage sont obligés de déféquer dans les chemins de randonnées, plusieurs centaines de caravanes cela représente plusieurs milliers d’individus je vous laisse imaginer l’état de la znieff après quelques mois, tout part avec la pluie dans les cours d’eau avec en plus les ordures ménagères, il y a bien un ramassage mais c’est tellement plus simple pour certains de jeter les sacs poubelles, vélos, machines à laver,… dans les fossés puisqu’ils n’y séjournent que quelques mois. Attention, dans ces fossés s’y trouve déversé absolument tout, les eaux usées de toutes ces caravanes, toilettes chimiques etc. Et même du fioul pour 2007, des litres de fioul, de l’huile de vidange, de la peinture et je ne sais quoi encore sont partis dans la rivière. Le sous préfet ose me répondre que la communauté de commune (CCED) pendant leur séjour nettoie, c’est faut. Tous, les riverains, agriculteurs, et utilisateurs du marais peuvent le dire c’est faut. Même après les saisons honteuses rien n’est nettoyé seulement ce qui se voit le plus, il a fallu que j’envois en plusieurs milliers d’exemplaires les photos de la pollution restante pour qu’enfin la CCED continue son nettoyage, mais aucun curage n’a été effectué pour l’instant. Le sous préfet qui m’écrit ‘cette année il y avait des toilettes mobiles’, une fois de plus ont nous prend pour des moins que rien et c’est scandaleux, si ce monsieur à vu des toilettes en 2007 c’est qu’il c’est trompé de ZNIEFF ou bien qu’il n’écoute que ce que veut bien lui dire la communauté de commune. Dans ce marais on n’a le droit de pêcher à l’eau de javel, de brûler des Nivéoles (plantes plus que protégées), etc.

    Dans ces zones humides des réglementations très particulières sont à respecter (NORMALEMENT). Si un agriculteur plante un poteau de travers (c’est une image), on lui colle une prune illico, ils ne doivent pas creuser les mares plus profonde qu’elle le sont etc. il y a un cahier des charges très contraignant. Mais dans le cas qui nous intéresse, c’est encore une fois tout le contraire. La CCED a arraché des haies, rebouché des fossés, ils viennent même de faire des rades en graviers, et la préfecture ferme les yeux comme si de rien était, J’ai réussi à faire venir la police de l’eau mais depuis plus rien (immobilisme c’est le mot qui convient)

    Mais l’anarchie ne s’arrête pas là, la préfecture en autorisant cette installation se fiche complètement des riverains. L’entrée de l’aire d’accueil se trouve à 5 mètres de l’entrée d’une habitation (la propriétaire à 90 ans). La Ferme d’Osseville un magnifique cors de ferme, ancienne propriété des seigneurs de Cabourg puis à leur fils Godefroy-Charles-Antoine Doublet comte de Persan (il n’y a pas eu que Proust à Cabourg), avec autour plus de 11 hectares de terres agricoles (au prix du domaine, certain se frotte déjà les mains). Et tous cela complètement isolé des villes alentours (seule contre tous) et parmi ces gens qui ne sont pas tous des anges, (je précise que je n’ai rien contre les gens du voyage) il y a des sans foi ni loi (la police et la gendarmerie ne me dirons pas le contraire). 2005, 2006, 2007 vols (légumes, échelle, fioul,…) dégradations (démolis murs, bâtiments, ils viennent déféquer dans la cour et les dépendances,) insultes, (quasi journalière) etc. La liste est très longue. Je ne suis pas fier de préciser que pour qu’il y ait du courant à la ferme, il a fallu que je commette des actes répréhensibles car personne pas même le préfet n’a bougé le petit doigt quant les gens du voyage se branchaient sauvagement aux poteaux (seulement 110 volts dans les prises de la ferme, sur un total de plus de 300 jours). Ensuite il y a les utilisateurs du marais (tous les gabions on eu droit aux portes arrachées, certains ont été complément démolis), les agriculteurs (vol des barrières, des moutons, vol du matériel agricole, mangeoires en acier, ils ont tirer à coup de fusil dans un tracteur, roumballeurs à la flotte, etc. etc.) beaucoup ne veulent plus porter plainte tellement ils sont écoeurés. Il ne faut pas oublier que les animaux boivent dans ces cours d’eau, vaches, chevaux et (bêtes sauvages que je retrouve raides en fin de saison) pour vous donner une idée la flotte est blanche crème avec des auréoles d’hydrocarbure sur le dessus. Bien sur des chevaux ont été très malades, mais puisque que l’on sait que le sous préfet va répondre (il n’est pas démontré que ces faits ont un lien direct avec la présence des gens du voyage), beaucoup baissent les bras.

    Pourquoi cette colère? Simplement parce que l’on nous ignores, c’est du mépris, personne ne tient compte de nos doléances, rien n’est remboursé, rien n’est réparé, rien n’est nettoyé, on nous baratine en disant ce n’était que pour cette année, après nous chercherons un autre terrain. Elle est de quelle coté la naïveté? Puisque les maires de Cabourg et Varaville ont déjà prévu de placer l’aire d’accueil à cet endroit et définitivement (c’est sur les beaux dépliants glacés de Cabourg).

    Mais alors M le préfet pourquoi ne faite vous pas recreuser les fossés, enlever les rades illégales et les barrières en bois complètements démolies, pour qu’à l’avenir personne ne puisse envahir ces pâturages? Pourquoi la communauté de commune et les maires disent à la propriétaire de la ferme (on va protéger votre cuve de fioul avec des parpaings, nous allons faire l’entrée du camp plus loin etc?) Des questions qui restes sans réponses. Voila pourquoi j’envoi ce message et beaucoup d’autres en plusieurs milliers d’exemplaires à des associations, personnalités, journalistes, services de l’état etc. Que je post sur plusieurs centaines de blogs, forums,… Si personne ne prend le risque de dénoncer cette situation catastrophique que la sous-préfecture et les élus minimisent alors c’est la porte ouverte à tout les abus.

    Nativelle P

    Photos de 2005 et 2006 perso.orange.fr/varaville… cabourg.varaville.site.vo…

    Photos de 2007 varaville.ifrance.com nativelle.over-blog.com/
    DERNIÈRE NOUVELLE, ON REMET ÇA EN 2008

  6. Je lis ce commentaire et je me dis qu’il n’a rien à faire ici. Et puis je change d’avis. L’attitude des associations envers le JSP, c’est de l’abus de pouvoir et un manque d’écoute et de respect. Leurs présidents sont enfermé dans une tour d’ivoire et refusent d’écouter les consommateurs ou ceux qui se battent pour eux. Nativelle aussi est confrontée aux mêmes problèmes de manque d’écoute, même si le sujet est différent. C’est grave, les gens ne dialoguent pas ou ne veulent pas échanger. Et nous, les citoyens, nous finissons par nous s’exprimer là où on a droit à la parole, où il y a de gens qui lisent et qui peuvent comprendre. Vive les blogs, vive le JSP, vive la liberté de parole !

  7. Je suis d’accord avec toi, Phil et je trouve super qu’il y ait des gens qui se battent pour une cause, dans ce monde immobile. Et même si parfois leur combat ne mène pas toujours à la victoire, leur côté "agitateur" finit toujours pour remetttre en question les idées reçues et faire avancer. Un grand merci à Babette et à son équipe qui se battent pour notre métier, pour les consommateurs et pour faire bouger les choses.

  8. La libre expression d’accord, mais autour d’un thème : la pub. Les crottes de chien, les problèmes de cantine et puis quoi encore ? Nativelle, adesse toi au prefet, au sous prefet, aux journalistes, mais fiche-nous la paix. Après les stars et les paillettes ton histoire de crottes et d’eau de javel sent encore plus mauvais.

  9. Toute l’équipe du JSP se bat avec passion et professionnalisme contre une bande de lâches et de trouillards pour pouvoir réaliser un projet innovateur qui pourrait nous satisfaire et satisfaire la pub. Le JSP c’est très sérieux. Et ton humour est très déplacé.

  10. Dans votre histoire les plus nuls ce sont les associations. Vous étes tombés sur quelques personnes qui n’ont pas tout compris, mais la Marie de Paris, les médias, les partenaires, même les marques… ont senti que votre JSP était intéressant et juste. Les associations, par contre, sont un peu bouchés. Ils vivent dans la lune ?

  11. C’est clair, ce monsieur Brossard vous évite. Il refuse de vous écouter, il vous attaque violemment dans son courrier, pourtant il n’hésite pas à reprendre vos arguments et à les faire siens. J’en suis sidéré. Pourquoi ne pas vous recevoir, vous appuyer, discuter, réfléchir avec vous qui avez senti il y a des années qu’il fallait faire quelque chose ? Je pense que c’est une question de pouvoir et d’image. I am the boss. C’est une attitude totalitaire et honteuse qui démontre encore une fois la mauvaise fois des publicitaires. Ce n’est pas ainsi qu’il va changer l’image de la pub auprès des consommateurs. Mais je crois que les consommateurs ne sont pas son problème. Son mépris pour nous est clair et évident.

  12. Au festival de Méribel, Hegarty a dit « On est passé de l’ère de l’interruption à celle du dialogue. Les marques, aidées par leurs agences, doivent être plus créatives, créer des contenus pour que les consommateurs continuent à les regarder. Elles doivent s’engager à discuter avec eux sans imposer leur point de vue. » Encore une fois, cette dernière analyse vous donne raison. Désormais Monsieur Brossard sera obligé de s’aligner sur une ligne de conduite imposée par la profession. Pourtant, en tant que président de l’association des agence des communication, il aurait dû être à l’origine du changement. Quand on se prétend responsable des agences de communication, on doit être en mesure d’anticiper les problèmes, d’innover et de réagir promptement.
    Jusqu’ici il a pratiqué la politique de l’autruche. Curieux comportement pour un responsable de son niveau. Vous lui donnez encore une fois une chance de se racheter en faisant un coup d’éclat qui le remettrait en vedette, mais je crains qu’il n’aura pas l’intelligence de saisir cette occasion.

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